06/03/2015

"Joyeux bordel", la révolution cotillons

Joyeux Bordel, les Liens qui libèrent
"Joyeux Bordel.
Tactiques, principes et théories 
pour faire la révolution",
d'Andrew Boyd & Dave Oswald Mitchell

« Sur toute la planète, des millions de personnes ont pris conscience, non seulement de la nécessité d’agir pour mettre un terme aux inégalités croissantes et aux dégâts écologiques, mais aussi de la possibilité d’y parvenir en faisant appel au pouvoir de l’imagination.

Elaboré aussi bien pour les militants aguerris que pour les nouveaux activistes, Joyeux bordel est le manuel indispensable du militant moderne. Pensé par des dizaines d'activistes du monde entier, Joyeux bordel met en lumière de nouvelles voies vers un militantisme créatif, efficace et revigorant. Il est à la fois un manifeste du farceur, un mode d’emploi de l’action directe façon Greenpeace, et un manuel d’entraînement à l’organisation des masses, à la pédagogie et aux pratiques émancipatrices.

Il explicite des dizaines de tactiques – de la Flash mob à l’occupation non-violente en passant par la grève de la dette ou différent canulars. Mais c’est surtout une bible qui reprend de nombreux principes et théories fondateurs de l’action militante pour concocter malicieusement ses propres actions créatives. »

Andrew Boyd est auteur, humoriste et un vétéran des campagnes créatives pour le changement social. Pendant dix ans, il a dirigé la campagne médiatique satirique "Billionaires for Bush". Il a cofondé Agit-Pop Communications, une agence de "communication au service de la subversion".
Dave Oswald Mitchell est auteur, rédacteur en chef et chercheur.
Éditions Les Liens qui libèrent, 245 pages, 16 euros. En librairie le 11 mars.

Joyeux bordel
Joyeux bordel LLL
Tactiques, principes et théories pour tout faire pour éviter de faire la révolution 
et pour passer le temps entre potes de fac en draguant un max de filles, 
avant d'entrer chez Publicis et se faire un max de blé. 
[Nan, mais là chuis trop injuste, aigri, vieux et médisant. 
On ne gagne plus un max de blé chez Publicis ! C'est la crise]

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