23/07/2014

Au sommaire d'Article11 d'été

Lu sur Article11 n°17 (juillet-août) (actuellement en kiosques) :

(...) On suppose que certains seront un peu tristes de voir la flottille Article11 opter pour le sabordage. Mais c’est comme ça. Pesé, mûri et réfléchi. (...) Mais qu’on se le dise : il n’est pas question de macérer dans un jus maussade et défaitiste. D’ailleurs, ce numéro 17 nous botte bien. Et on espère que vous l’engloutirez avec appétit, sans tristesse malvenue. Un canard affichant en couverture un chat noir urinant sur un pavillon de banlieue mérite mieux que des soupirs de déception...

Le programme des réjouissances ? 
Le voici tel que formulé dans 
notre sommaire biscornu :
Dans ce dix-septième numéro à l’esthétique pavillonnaire assumée, on découvrira qu’il y a une fin à tout (p. 2), on fera connaissance avec le Monsieur Police du Figaro (p. 5), on écoutera Patrick Coupechoux dénoncer l’inhumanité gangrenant la psychiatrie (p. 9), on découvrira les affres de la « gouvernementalité algorithmique » avec Antoinette Rouvroy (p. 13), on engloutira une longue et noire nouvelle signée Josu Arteaga (p. 16), on remontera le temps en compagnie de Gillian Weiss pour naviguer avec les corsaires méditerranéens (p. 23), on poursuivra le périple sur l’eau, via les paroles d’un batelier du canal du Midi (p. 26), on fustigera les classes moyennes avec Jean-Luc Debry (p. 31), on infiltrera l’arrière-décor peu ragoûtant d’une émission télévisée crétine (p. 34), on parlera arumbaya ou yucatèque avec Jean-Pierre Minaudier (p. 36) ; et on engloutira de savoureuses chroniques de société, de piquants aperçus historiques et de ragoûtantes envolées littéraires, le tout ponctué de délicieuses illustrations pimentées par les miracles de la quadrichromie – puis on enfourchera notre Harley pour s’en aller contaminer de notre spleen vrombissant des contrées encore inconnues de l’homme.

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