11/01/2013

Vient de sortir

"Les Z’indigné(e)s", 
« la revue internationale des résistances et des alternatives » 
n°4 (hiver 2013)
« Les mêmes paysans qui avaient fondé le Mouvement des paysans sans terre ont ensuite créé le Mouvement des affligés par les barrages… Le MAB dit ne pas être par principe contre l’énergie hydraulique… mais il questionne : l’énergie pour qui et pour faire quoi ? La réponse est sans équivoque : il y a déjà bien assez d’énergie disponible pour satisfaire les besoins humains. Ce sont les grands groupes, ce sont le capitalisme et le productivisme qui ont besoin de "toujours plus" ("toujours plus" de production, de consommation, d’accumulation des richesses, toujours plus loin, plus grand, plus vite, etc.). Il ne s’agit bien sûr pas de copier à l’identique les recettes imaginées par les pays les plus pauvres, il s’agit d’inventer un bien-vivre, un éco-socialisme, un socialisme gourmand pour l’Europe du XXIe siècle… Oui, nous sommes des militants anti-extractivistes, c’est pourquoi nous refusons, partout en Europe, les Grands projets inutiles imposés… »   Paul Ariès

Un numéro élaboré en partenariat avec le collectif de Notre–Dame-des-Landes et comprenant l’essentiel des interventions au 2e Forum européen contre les "Grands Projets Inutiles Imposés" (GPII) de juillet 2012. Avec des textes de Paul Ariès, Gus Massiah, Anne-Marie Chabod, Dominique Fresneau, Christian Grisollet, co-présidents de l’ACIPA, Geneviève Coiffard-Grosdoy, Marc Delepouve, Jérôme Gleizes Jacques Cambon, des contributions exceptionnels des collectifs français (COUAC), espagnols, britanniques, allemands, russes, mexicains, etc., engagés dans des luttes contre les "GPII".

+ Un dossier « pour ou contre le SMIC à 1700 euros… ? », des textes de Paul Jorion
(la guerre numérique), David Puaud (la "gérontechnologie"), de Michel Billé (ré-enchanter
la vieillesse), Thierry Brugvin (les risques d’instrumentalisation des écologistes
et des décroissants par les industriels du Club de Rome)...
Trimestriel, 160 pages, 14 euros. Sous la direction de Paul Ariès.

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