22/06/2011

L'entomophagie, l'avenir de l'alimentation ?

Le projet Khepri, kezako ? « 25 000 personnes meurent de faim et de pauvreté chaque jour dans le monde, et plus de 2 milliards souffrent de carences en oligo-éléments.
Il importe donc de développer des solutions innovantes dans le respect d’un partenariat réciproquement bénéficiaire comme l’échange le permet, et créatrices de valeur ajoutée.
La comparaison en termes d’apports nutritionnels entre insectes et viande "conventionnelle" ou considérée comme telle sous nos contrées penche largement en faveur des premiers alors même que cette piste n’a encore été que très peu explorée, en grande partie à cause de notre culture : si consommer des crustacés ou des escargots est communément admis, manger des insectes est plutôt mal perçu. [...] »

> Le projet Khepri et l'entomophagie (Libération vidéo)
(vidéo supprimée d'UtopLib le 24/6 car à démarrage automatique avec pub systématique, désagréable pour tout le monde).
> Pour en savoir plus sur le projet.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Mouais... c'est super sympa d’ébouillanter des insectes vivants.

Personnellement à partir de la même réflexion que lui, plus basée sur l'écologie dans mon cas du moins au départ, j'ai choisi la voie du veganisme.

Mêmes bénéfices, la cruauté en moins.

kuriakin a dit…

Chacun sa voie, chacun son choix... Vive la diversité.
Ceci dit, un reportage sur l'alimentation par les insectes se la joue, une nouvelle fois, pittoresque pour frapper les esprits. Je me demande d'ailleurssi les journalistes n'ont pas un peu poussé les responsables à faire ce type de tambouille devant la caméra pour faire frémir le téléspectateur avec un KohLanta à domicile. En effet, un autre reportage, de l'an dernier, que je n'ai pas retrouvé en ligne, parle de ce type de nourriture expérimentée plus sérieusement actuellement en labo, notamment je crois en Amérique centrale ou au Brésil.
Evidemment, il restera toujours au final la mort des insectes, que certaines philosophies peuvent réprouver. Ce qui se défend, mais que je ne partage pas.